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2 juin 2009

quelques logiciels²

et vint la 3D.

3D Studio Max (ou 3dsmax) est un logiciel de modélisation et d'animation 3D, développé par la société Autodesk.
Avec Maya, Softimage XSI, Lightwave, Houdini et Blender, il est l'un des logiciels de référence dans le domaine de l'infographie3D.

Le logiciel est issu du programme 3D Studio qui a tourné sous DOS jusqu'à sa version 4.
Les programmeurs de Kinetix (une division d'Autodesk rebaptisée maintenant Autodesk Media and Entertainment) ont développé un logiciel entièrement nouveau et repensé.

3dsmax est ainsi conçu sur une architecture modulaire et supporte des plug-ins (extensions), ainsi que les scripts écrits dans un langage proprietaire (maxscript).
Le logiciel s'est développé rapidement, en étant utilisé principalement dans le cadre du jeu video.
Il a également été utilisé dans d'autres domaines, notamment le film d'animation.
3D Studio Max est également utilisé dans un nombre croissant de films.

After Effects

est un logiciel de compositing édité par Adobe.
Il permet de créer des effets spéciaux et des animations graphiques pour tous supports à partir de n’importe quel types de sources.

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1 juin 2009

quelques logiciels

Les logiciels les plus utilisés

le combo le plus utilisé et le plus connu : la suite ADOBE
.

imagesdobe

Adobe Systems, ou plus simplement Adobe (prononcez « Adobi »), est une entreprise informatique éditant des logiciels graphiques.
La compagnie a aussi créé les logiciels de montage vidéo.
Ces derniers sont maintenant des références mondiales dans le domaine de l'édition vidéo de même que bien d'autres logiciels créés par la compagnie.
Adobe vient du nom de la rivière Adobe creek  qui coule derrière la maison de son fondateur John Warnock.

Elle a été fondée en décembre 1982 par john warnock  et Charle Geschkel qui avait quitté le Xerox Park pour améliorer et commercialiser le langage de mise en forme PostScript  refusé par ce dernier.

Le 3 decembre 2005  , Adobe a acheté Macromedia, propriétaire entre autres de Dreamweaver et du logiciel d'animation vectorielle Flash , pour un montant total de 3,4 milliards de dollars.
La transaction s'est effectuée exclusivement par échange de titres : une action Adobe pour 0,69 action de Macromedia.

En effectuant cette transaction, Adobe a acquis un concurant de taille et à conforté sa place de leader dans la production de Software pour Designer et développeurs.

Les logiciels

images_6InDesign :

un logiciel de mise en pages ou PAO  .
Il est utilisé pour créer des magazines, des journaux, des livres, des plaquettes...
Comme ses concurrents, il est axé sur la forme et permet d'appliquer des mises en pages beaucoup plus complexes et créatives qu'un logiciel de traitement de texte, qui est axé, lui, sur le contenu.
Ses grands rivaux sont le logiciel Xpress, de la société Quark et le logiciel Scribus, distribué sous licence GNUGPL .

images_3Illustrator :

logiciel de création graphique vectorielle de référence dans les environnements professionnels.
Il fait partie de la gamme Adobe  et peut être utilisé indépendamment ou en complément de Photoshop.
Les images vectorielles sont constituées de courbes générées par des formules mathématiques.
L'un des outils principaux d'Illustrator étant « la plume » qui permet de tracer des courbes à l'aspect parfait grâce au placement de points d'ancrage et de tangentes qui vont en modifier la courbure. Un des avantages des images vectorielles est qu'elles ne sont pas dépendantes de la résolution, c’est-à-dire qu'elles ne perdent pas en qualité si on les agrandit.
Adapté aussi bien à la création de document Papier  qu'à celle d'illustrations pour Internet  (logos, affiches, etc).

images_1Photoshop :

est un logiciel  de retouche, de traitement et de dessin assisté par ordinateur édité par Adobe.
Il est principalement utilisé pour le traitement de photographies numeriques, mais sert également à la création d’images .

Photoshop est un logiciel travaillant sur images matricielles (également appelées "bitmap", à ne pas confondre avec le format d’enregistrement Windows bitmap) car les images sont constituées d’une grille de points appelés pxiels .
L’intérêt de ces images est de reproduire des graduations subtiles de couleurs.

images_7Fireworks :

est un logiciel de création d'images, spécialement conçu pour le web, mais il est aussi possible de créer des images pour l'impression, même si le logiciel ne supporte pas le CMJN, il supporte tout de même les gestion des PPP (points par pouce).

Il permet par exemple de réaliser des effets d'ombre sous un texte, de créer des boutons afin de réaliser un menu, d'optimiser des images, d'effacer les yeux rouges sur une photo, etc.

Suite au rachat de Macromedia par Adobe, Fireworks est devenu presque obsolète, car bien moins performant et fonctionnel que Photoshop.
L'entreprise a tout de même souhaité l'ajouter à sa gamme Creative Suite, car les deux outils ont des interfaces, et une approche de la retouche et de la création de formes tout à fait différentes.
Le programme est bien plus spécifique, si ce n'est pas dédié, à la création pour le web.
De plus, Fireworks est proposé à un prix plus abordable et permet donc aux utilisateurs inexpérimentés de débuter avec la création graphique numérique.

images_5Flash :

anciennement Macromedia Flash ; nom original   FuturSplash Animator, ou simplement Flash, se réfère à Adobe Flash Player et à un logiciel multimédia utilisé pour créer le contenu de Adobe Engagement platform
  (tel qu’une application Internet, jeux ou vidéos).
Flash Player est une application client fonctionnant sur la plupart des navigateurs Web.
Ce logiciel permet la création de graphiques vectoriels et de bitmap, un langage script appelé ActionScript et un stream bi-directionnel de l’audio et video.

Pour être bref, Adobe Flash est un environement de developpement integré (IDE), une machine virtuelle utilisée par un player Flash ou serveur flash  pour lire les fichiers Flash.
Mais le terme « Flash » peut se référer à un lecteur, un environnement ou à un fichier d’application.

Depuis son lancement en 1996, la technologie Flash est devenue une des méthodes les plus populaires pour ajouter des animations et des objets interactifs à une page web ;
de nombreux logiciels de création et OS sont capables de créer ou d’afficher du Flash.
Flash est généralement utilisé pour créer des animations, des publicités ou des jeux vidéo.
Il permet aussi d'intégrer de la vidéo en streaming dans une page, jusqu'au développement d'applications Rich media.

Les fichiers Flash, généralement appelés « animation Flash » sont au format .swf.
Ils peuvent être inclus dans une page web et lus par le plugin Flash du navigateur, ou bien interprétés indépendamment dans le lecteur Flash Player.

images_4Dreamweaver :

anciennement Macromedia Dreamweaver est un editeur de site web de type « tel écrit tel écran »
(cette formule remplaçant désormais dans la terminologie informatique le sigle anglophone WYSIWYG
(What You See Is What You Get : ce que vous voyez est ce que vous obtenez).

Dreamweaver fut l'un des premiers éditeurs HTML  de type tel écrit tel écran, mais également l'un des premiers à intégrer un gestionnaire de site (CyberStudio Golive étant le premier).
Ces innovations le propulsèrent rapidement comme l'un des principaux éditeurs de site web, aussi bien utilisable par le néophyte que par le professionnel.

Dreamweaver offre deux modes de conception par son menu affichage.
L'utilisateur peut choisir entre un mode création permettant d'effectuer la mise en page directement à l'aide d'outils simples, comparables à un logiciel de traitement de texte (insertion de tableau, d'image, etc).
Il est également possible d'afficher et d'éditer directement le code (HTML ou autre) qui compose la page.
On peut passer très facilement d'un mode d'affichage à l'autre ou opter pour un affichage mixte.
Cette dernière option est particulièrement intéressante pour les débutants, qui à terme, souhaitent se familiariser avec le langage HTML.

Dreamweaver a évolué avec les technologies de l'internet.
Il offre aujourd'hui la possibilité de concevoir des feuilles de style (modèle de création).
Les liaisons avec des bases de données ont également été améliorées ainsi que le chargement des fichiers sur les serveurs d'hébergement.
Il propose en outre l'utilisation de modèles imbriqués de pages web, selon un format propriétaire.

Depuis la version MX, il peut être utilisé avec des langages web dynamiques (ASP,PHP) à l'aide d'outils relativement simples d'utilisation.
Il permet ainsi de développer des applications dynamiques sans connaissance préalable des langages de programmation.

Voila pour les plus used de la suite .

 

28 mai 2009

L’Importance de l’économie Internet

l'économie du web

est elle la même que l'économie traditionnelle ?

L'économie sur Internet se différencie de manière fondamentale de l'économie traditionnelle
par trois paramètres clés : l'information, les connaissances et la vitesse.
Savoir utiliser la Toile pour gérer les relations avec ses clients et ses partenaires commerciaux est
devenu la nouvelle arme secrète de la Net économie.

1) L'économie sur Internet a augmenté de 68% entre 1998 et 1999 et devrait atteindre 507 milliards
de $ en 1999.
À partir des chiffres du premier trimestre 1999 et en supposant que la croissance se poursuive au même rythme durant le reste de l'année, les auteurs de l'étude ont fait deux estimations pour les revenus de l'ensemble de l'année 1999 : 507 milliards de $ sur la base de la croissance moyenne et 531 milliards de $ sur la base d'une croissance composée, ces deux projections diffèrent de moins de 5%.

2) Le commerce électronique alimente une forte croissance des emplois liés à Internet. Ceux-ci
sont passés de 1,6 million au début de 1998 à 2,3 millions au début de 1999, dont près de 400 000 liés au commerce électronique.

3) Une entreprise sur trois de l'économie Internet n'existait pas avant 1996.
Internet a suscité une forte création d'entreprises aux États-Unis, qui ont créé 305 000 emplois.

4) L'économie sur Internet a une forte influence sur la croissance économique américaine.
Malgré les difficultés théoriques de comparaison, les chiffres peuvent être mis en parallèle : l'économie
américaine a augmenté de 340 milliards de $ en 1999, l'économie sur Internet de 200 milliards de $.

5) Internet augmente les bénéfices des entreprises. La part venant d'Internet est passée de 10%
en 1998 à 14% en 1999.
De plus, les recettes augmentent plus vite que le personnel, ce qui montre qu'Internet induit de forts gains de productivité.

6) Les gros poissons ne dirigent pas la mare. Les dix premières entreprises de l'étude ne gagnent que 27% des revenus.
Ceci montre que, comme dans le reste de l'économie, les grandes entreprises jouent certes un rôle, mais que la plus grande part de la croissance économique et de la création d'emplois provient des PME.

7) Les investisseurs valorisent fortement les entreprises liées aux réseaux Internet. Les 294 entreprises
qui font le plus d'affaires sur Internet ont une capitalisation boursière moyenne de 18 milliards de $, 30 fois plus que la moyenne de l'ensemble des entreprises cotées au NASDAQ.

8) L'économie sur Internet dépasse déjà des industries centenaires.
Elle a déjà doublé les télécommunications (300 milliards de $) et les compagnies aériennes (350 milliards de $) et se rapproche de l'édition (750 milliards de $) et des soins de santé (1000 milliards de $).
Directions de recherches futures.


Le futur de l’économie Internet

Aujourd’hui, dix ans à peine après sa première mise en œuvre commerciale, il est difficile de trouver
un domaine d’actvité dans lequel n’intervienne pas Internet.

Internet et les différentes technologies de l’information qu’il relie sont considérés comme des outils
essentiels face à certains des enjeux les plus urgents de la planète : croissance économique durable,
sociétés vieillissantes, gestion de l’environnement, efficacité énergétique, éradication de la
pauvreté, et bien d’autres encore.
Les implications d’Internet pour le développement économique et social sont d’une portée considérable, notamment pour les prochains milliards d’utilisateurs.

• En juin 2007, 54 % des internautes ont acheté en ligne et 27 % des adultes téléphonent de leur
domicile en passant par une "box", contre 16 % en 2006 et 7 % en 2005 ;

• Développement des technologies de demain (très haut débit, télévision sur téléphone mobile,
radio numérique). 92 % des particuliers possédant une connexion internet sont déjà équipés en haut débit.

L’économie Internet va-t-elle entrer en récession en 2009 ?

Depuis 2002, les nouvelles technologies et le web connaissent une croissance soutenue et régulière.
Elle risque cependant d’être mise à mal en 2009.
Toutefois, tous les secteurs ne seront pas également touchés.
Si il semble évident que les grands groupes vont limiter leurs investissements en infrastructure et en communication, d’autres tireront forcément leur épingle du jeu.
Les sites de e-commerce notamment devrait continuer à croître grâce notamment à une politique de prix
agressive et à un service toujours plus performant.
Concernant le hardware et les éditeurs de logiciels, là encore tout le monde ne sera pas logé à la même enseigne.
On l’a vu avec le succès des netbooks, il y a une réserve de croissance dans l’informatique low cost de même que sur le marché du logiciel libre.
Enfin, comme c’est le cas lors de toute crise, un phénomène de concentration est à prévoir.
Les acteurs importants, armés pour faire face à la situation, devront passer à l’offensive pour survivre et ce sont les entreprises en difficulté qui risquent de se faire racheter.
Une chose est sûre, 2009 sera animée.

27 mai 2009

SANTE

Et la santé alors parlons en!

Quelques problèmes de santé liés aux métiers du Multimédia.

nous pouvons passer des heures et des heures assis devant notre PC.
Les yeux grand ouverts injecter de sang causer par les nuit blanches.
doigts courbaturés à claveter toutes la journée, après moultes  Injections de café,
code enfin terminer, donnés compilées , on se met a tester pour pouvoir se lever,
mais le code est erroné, il faut tout recommencer.
Comment s'échapper  de ce cercle déjanter ?.
ne pas se laisser submerger, par le stress accumulé.
un étirement récurant, un plissement soulageant;
pour eviter la fatigue oculaire, une crampe de l'auriculaire.
La sieste non plus nous déplaire, mais pour nous satisfaire,
est la meilleure des fin pour nous rappeler notre faim au lever.
manger accompagner d'un petit café pour pouvoir recommencer a passer des heures et des heures assis devant notre PC.

Cafetiere_geek_1

27 mai 2009

les métiers du multimedia

Quelques métiers du multimedia

Concepteur-réalisateur multimédia

Il adapte la scénarisation du produit, dirige l'ensemble de la conception du produit ou du service Multimédia,
en interaction avec les différents concepteurs spécialisés.
Il dresse l'arborescence du produit, veille à l'unité graphique, planifie les conséquences des différentes actions de l'utilisateur, c'est-à-dire l'interactivité, et garantit la cohérence de l'ensemble.

Si le projet comporte un scénario à l'origine, le concepteur-réalisateur multimédia peut apporter sa contribution en composant un scénario supplémentaire, lui-même.
Il fait partie des métiers de direction à mettre en parallèle avec les métiers de directeur artistique et de directeur technique. Il lui faut de l'imagination et de la créativité.


Concepteur graphique

Plus couramment appelé graphiste, surtout dans le monde du web, il prend en charge toute la création graphique d’une œuvre multimédia, du début à la fin.
Il s’occupe de l’illustration graphique du produit et/ou du service multimédia.
Il peut intervenir à différents stades du projet. Dans la phase de préparation, il est utile dans la réalisation des maquettes graphiques qui illustrent visuellement les idées proposées par l’auteur et le scénariste.
Par la suite, il crée les dessins des éléments graphiques prévus dans le scénario original, il s’occupe des personnages, des animaux, des accessoires, du décor et de l’environnement visuel.

Dans le cas d’un site internet, il peut également concevoir, avec un webdesigner, des écrans ou des
interfaces.
Il peut également travailler en étroite collaboration avec un infographiste pour l’informatisation des éléments graphiques.

Le concepteur graphique est un artiste créatif ayant une bonne maîtrise du dessin, du graphisme, de l’illustration, de la pub et de la typographie (les polices utilisées).
Il s’occupe également de la mise en page, de l’ésthétique.
Il ne craint pas d’associer dessins manuels et procédés informatiques pour parvenir à la bonne réalisation d’une
oeuvre.



Concepteur vidéo

Le concepteur vidéo et à la vidéo ce qu'est le concepteur photo à l'image.
Son rôle principal dans une équipe est d'élaborer un scénario pour définir les parties vidéo.
C'est lui qui décide de l'ordre des séquences vidéo, mais également du support sur lequel elles seront visibles (Page web, Console de jeux, Portable (GSM),
Ses points forts sont sa grande connaissance cinématographique mais également
son sens artistique. Il possède également un bagage publicitaire et un esprit logique.
Il aime les heures supplémentaires car il est passionné et curieux.


Mise en oeuvre et réalisations graphiques/artistiques.

C'est un des chapitres les plus importants de l'article car il nous intéresse dans le
sens où tous ici sommes passionnés de réalisations graphiques et artistiques, et encore une fois, vive PhotoShop et Gimp.

Directeur artistique

Le directeur artistique est le responsable de l'aspect artistique d'une production cinématographique ou audiovisuelle, d'une campagne de publicité, d'une publication ou d'un projet multimédia.
Plus concrètement, le directeur artistique est chargé de superviser tout l'ensemble de la conception graphique d'un objet.
Il est créatif et très artiste dans l'âme.
Ce sont eux qui élaborent l'identité visuelle d'un magazine ou d'un produit.



Infographiste

Mettre en oeuvre et réaliser les aspects visuels qu'ils soient graphiques ou artistiques d'un produit ou d'un service multimédia, tel est le travail de l'infographiste.
Comme son nom l'indique, l'infographiste est un spécialiste du graphisme informatique.
Il crée des dessins à l'aide de logiciels adaptés au dessin sur ordinateur.
L'infographiste est engagé par le directeur graphique.
Lorsqu'il n'y en a pas, le projet se réalise entre l'auteur, le concepteur et l'infographiste, avec l'aide d'un chef
de projet.

L'infographie est tellement vaste que des spécialités existent: spécialiste en image de synthèse, spécialiste 3D ou animateur 2D/3D.
Ce sont les techniques et astuces élaborées par les infographistes qui rendront l'œuvre multimédia agréable et
facile à contempler et qui donneront l'envie de s'y plonger.



Web designer

le webdesigner est l'infographiste qui ne s'occupe que du Web.
Il définit la représentation graphique de l'interface d'une page web, ainsi que son comportement et son ou ses interactions avec l'internaute, l'utilisateur du web. Il associe rigueur et inventivité pour séduire le visiteur.
Dans certains cas, le webdesigner peut même prendre en charge la réalisation pratique de l'ensemble du site Web et travailler en tant que développeur de site Web.
Il est donc important qu'il ait un bon bagage des langages et techniques du Web.
Il réalise également l'arborescence des pages, l'organisation des pages, et tient compte des contraintes techniques, d'ergonomie, d'utilisabilité et d'accessibilité.
Le webdesigner s'y connait en programmation, en interactivité, en W3C (le WWW
Consortium), en accessibilité et en portabilité.
Il commence par réaliser une maquette fonctionnelle du site, annote les informations importantes et autres modifications, puis crée une maquette graphique, qu'il transformera par la suite en lignes de code et
images pour que le résultat s'affiche dans votre navigateur Web.

Il est obligatoire que le webdesigner maîtrise les logiciels tels que Photoshop, de dessin vectoriel, et les langages à balises tels que le HTML, le XHTML, le XML, le RSS, etc. mais également les acronymes tels qu’URL, HTTP, FTP, CSS, JS, ...

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26 mai 2009

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cvleon_legla

26 mai 2009

TYPO

Potassons potassons...

Quelques règles typographiques

Les règles de typographie sont simplifiées sur Internet : accentuation, ponctuation, espaces, casse.
Adopter un code typographique présente l'avantage d'uniformiser le rendu écrit et de crédibiliser le contenu en garantissant un confort de lecture à l'internaute.


Commençons par le plus simple,
la police :

- Police avec empattements (exemple : Times new roman,… plus communément pour les titres)
- Police sans empattement (exemple : Arial,… pour le texte courant)


Comment mettre en
valeur son texte :

• Au départ du document, on saisit le texte au kilomètre sans mise en forme.
• Ensuite on met en valeur des mots, des paragraphes en se posant bien la question de la force du message que l'on désire faire passer.


Comment s'y prendre
?

- Gras : pour faire ressortir les mots important du texte
- Italique : Dans le corps d’un texte, les italiques sont utilisés dans les cas suivants :
- Titre d’une œuvre (l’Avare) ;
- Titre d’une publication, journal, périodique, etc. (Média) ;
- Les mots étrangers (Windows) ;
- Les dédicaces (À mon directeur préféré) ;
- Les notes de musique (mais non les signes d’altération) (do) (si b) sauf #.
- L’usage fait également qu’on utilise les Italiques pour mettre en évidence un paragraphe, une remarque.

• Le souligné n’est jamais utilisé autant sur un périodique papier que sur un périodique numérique.
Sur le web le souligné peut-être apparenté à un lien hypertexte.

- La couleur : Pourquoi en utiliser ? Que va t’elle m’apporter ? Va t’elle vraiment mettre en valeur
le message que je désire faire passer ?


MAJUSCULE ou minuscule ?

Les mots en majuscule entrainent une monotonie au niveau de la lecture.
• En français, la majuscule s’utilise dans les conditions suivantes :

-Premier mot d’une phrase (ou d’un vers) ;
-Début d’une citation, d’un dicton, d’une devise, d’un aphorisme ;
-Noms propres, prénoms, surnoms, pseudonymes, patronymes ;
-Noms de marques et de modèles de marque ;
-Noms des villes, pays, lieux-dits, peuples et habitants des régions ;
-Noms des partis politiques et ordres civils, militaires et religieux ;
-Noms historiques ;
-Noms des monuments publics ;
-Noms des sociétés, établissements, etc.
-Les sigles ;
-Les titres d’ouvrages ;
-Les points cardinaux (s’ils désignent une région).

• On n’utilisera pas les majuscules pour :
-Les noms des mois (janvier, thermidor) ;
-Les noms des jours (lundi, mercredi) ;
-Les titres et qualités des chefs d’état ou de gouvernement (le premier ministre) ;
-Les déterminatifs et adjectifs (la Légion d’honneur, la Cour suprême).

Contrairement à un usage répandu, la majuscule est inutile après les deux-points ;
un point d’interrogation ou d’exclamation qui ne termine pas la phrase.


La ponctuation

La ponctuation des signes simples et doubles :

- Les signes simples sont :
- la virgule ","
- le point "."
- les points de suspension "..."
• La règle est : "signe simple, espace simple" ; l'espace se trouve après le signe.

Les signes doubles sont :
- le point-virgule ";"
- les deux-points ":"
- le point d'exclamation "!"
- le point d'interrogation "?"
• La règle est : "signe double, espace double" (une espace avant, une espace après).

Néanmoins, sur Internet, mieux vaut ne pas intégrer d’espace,
pour éviter le retour à la ligne d’un élément isolé.

Autre solution : ajouter un espace insécable en HTML représenté par &nbsp ;
La ponctuation des parenthèses, guillemets, crochets, accolades.
Laisser des espaces à l'extérieur, mais pas à l'intérieur.

2 exceptions :
il n’y a pas d'espace entre la parenthèse finale et la ponctuation simple qui suit
pour les guillemets à la française « », appliquer la règle des signes doubles,
soit des espaces avant et après sauf s'ils sont suivis d'une ponctuation simple.

Quelle ponctuation pour les listes à puces et à numéros ?
Pour les listes, il faut laisser une espace entre le tiret et le mot qui suit ; pour terminer une liste.

2 solutions sont possibles avec une préférence pour la seconde :
1) pas de virgule à la fin de chaque élément de la liste, ni de point à la fin :
ligne 1
ligne 2
2) un point-virgule à la fin de chaque élément de la liste, un point à la fin :
ligne 1 ;
ligne 2.


Les images

Pensez bien à diminuer votre image avant de l’utiliser sur un diaporama ou un article numérique.
Le fait de la diminuer sur votre support (un article par exemple) n’allège pas le poids de celle-ci.
Résolution de l’image : 72 dpi
Taille : Suivant votre besoin. La taille d’un écran est de 1200x800 pixels en moyenne.
Extension :
GIF : Adapté pour des dessins comportant peu de couleur
JPEG : Adapté pour les photos
PNG : Adapté pour les photos, gère en plus la transparence

25 mai 2009

it's me

who's that guy

Bonjour

Je m'appelle Léon(Long) LEGLA,
j'ai 23 ans et j'habite actuellement à Paris.

J'ai débuté par l'informatique et l'électronique (sti), passionné par le Multimédia et les arts graphiques j'ai suivis une formation intitulée "Opérateur Infographiste Multimédia".
j'apprends aussi la 3D en autodidacte car c'est nécessaire à certaines créations (mattepainting et autre) pour leur donner plus de texture et de volume.

Le web étant un "must" pour un infographe, je suis donc actuellement une formation de technicien intégrateur multimédia.
la création d'un support web est nécessaire a mon avis, car il permet une exposition de nos travaux et un suivis continu de notre évolution.

A l'avenir dans le domaine du web  j'aimerai me spécialisé dans la création de site dynamique (flash).

Je suis tout particulièrement attirer par le Flash car son utilisation ne se résume pas qu'au web, mais s'étend aux jeux vidéos(je m'intéresse à beaucoup d'autres domaines : FX, animations, BD...).

Voila, profitez de la visite et prenez du bon temps :).

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